NOUVEL EXTRAIT DU :§¶ MANUSCRIT NONOBSTANT L' ETENTIEL §¶PAR V GODRET

[{l*heure est au Rodin..comme au Grevin En' bois....§¶

Nues les choses de la viie, un texte, une histoire...
Une romance, un tourbillon, une fièvre folie doucement caressée...
Le vent qui crie

au soleil, qui se noue, et qui de nous se souvient ?!...
Le meilleur des mondes, à la maison, des silhouettes absorbées de souvenirs aux inouïs étrangers que nous étions à l*autre bout du fil Rouge...
Une image qui revient, d*un coin de nul part, et Nul n'est prompt aux silences des aveux.
Les trains de la viie nous prônent aux tiraillements des traces de rails, pour se faire des sang d* encre.
On ignorait toujours ce que les collines nous envoyaient au loin, que sur les arbres encore froids, naissaient des saltimbanques à demi teinte de raisons.
De versions vinyl en nostalgies, des décors de champagne sur une table, le temps d*une révolte qui paraissait pour laisser transgresser un passé révolu.
On aurait encore besoin d*un rendez vous dans les rues Mortes,
On s* accompagnerait des soupçons de baisers à nos portes d*hier.
Hier, teinte glace, verrière soufflée de buée chaude, et pour se dire qu*on s* attendrait toujours aux costumes et robes de noces interrompues.
Fin de l*avant d*avant, reste à voir d*une histoire d'amour, à quand le retour de ritournelle muselée que chuchoteraient nos musées ?!.. 
Les contes sont ainsi, et à la merci de nos jours souvenirs, de bien vouloir à ne vouloir en faire qu*à notre égard, une époque rebelle, à laquelle on aimait l*insouciance pour y faire un détour de retour aux sources...
Serait on à nouveau disponibles aux multitudes de mansuétudes !..
On continuerait de courrir attachés., ne désirant pas plus ni loin, enfiler nos enchevêtrements.

La parole de l*abîmé , l*équivoque de beauté mythique, s*offriraient à tant de notoires prosaïques sur un seul voleur qui s*appellerait le temps... 

[{extrait du MANUSCRIT NONOBSTANT L*ETENTIEL}] 

V. GODRET