EXTRAIT : AUX MILLE ET UN VISAGE PAR V GODRET
Sur une utopie je coule une larme d encre sur mon paysage courbe visage et mimiques d* effroi et
Toutti quanti.
Sur une utopie, je coule des travers de tristesse, de joies
Histoires d*émois...
Sur une utopie, les mots ne sont jamais les mêmes, que des peines pérennes à l*histoire, de quelques giboulées de glaces figeant mes amours.
Sur une utopie, je fuis comme la peste les braises d*interdits, je me remets en selle.
J*osé encore et j*ouvre la porte fenêtre d*automne, des chapitres à répétitions qui ne me font plus que ni chaud ni froid.
Sur une utopie, j écoutais sur des airs de guitare, mes miroirs qui me semblaient être des effrois dont je me croyais froissée.
Sur une utopie, dans ce bar, coulait un vague à l*ame d*une espèce de torpeur indéfinissable mais j*étais là....
Sur une utopie, je me disais que je baladerais sur mes pages blanches et que seules les rhétoriques de celle-ci ferait de moi, l*encrier aux mille et un visage.
Sur une utopie où germerait enfin cette vérité qui sur un *éclabousse*, respirerait mon air étouffé et dont le masque m*arrangeait bien.
Sur une utopie, subsisterait- il toujours cette torpeur dont on ne sors que par l*écoulement des larmes d*encre.
Valérie Godret
{[extrait :aux mille et un visage d*ange]}